Amen Bank poursuit l’amélioration de ses performances et la consolidation de ses fondamentaux
Amen Bank a toujours pris soin d’améliorer ses performances et de consolider ses fondamentaux. Et en 2023, la banque n’a pas dérogé à la règle.
Côté performances, la banque a fini les neuf premiers mois de 2023 avec un produit net bancaire (PNB) en hausse de 9,1% par rapport à un an auparavant, évoluant de 368,42 millions de dinars fin septembre 2022 à 401,89 millions de dinars fin septembre 2023.
Les dépôts et avoirs de la clientèle ont augmenté de 7,1%, passant de 7,03 milliards de dinars au 30 septembre 2022 à 7,52 milliards de dinars au 30 septembre 2023 alors que les crédits à la clientèle, nets des provisions et des agios réservés se sont accrus de 4,2%, passant de 6,66 milliards de dinars à 6,94 milliards de dinars pour cette période en comparaison avec un an auparavant.
La banque a pu améliorer son coefficient d’exploitation de 46 points de base, qui a atteint 39,28% à fin septembre 2023 contre 39,74% pour la même période de 2022.
Au 30 juin 2023, Amen Bank a annoncé la progression de son résultat net semestriel de 33,87% (de près de 28,5 MD, ndlr) pour se situer à 112,6 millions de dinars.
En outre, la banque poursuit la consolidation de ses fondamentaux. Ainsi, le ratio de liquidité à court terme (LCR) s’est établi à 171,55% fin juin 2023, en dépassement par rapport au niveau réglementaire minimum de 100%. Par ailleurs, le taux de couverture des engagements classés a évolué de 74,91% fin juin 2022 à 77,68% fin juin 2023 alors que le taux de créances classées (CDL) était en baisse passant de 12,80% fin juin 2022 à 12,15% fin juin 2023.
Amen Bank est aussi en train de se préparer à l’implémentation des normes IFRS prévues pour la fin de 2023. Rappelons dans ce cadre que le président du directoire, Néji Ghandri, avait rassuré les actionnaires à ce sujet, lors de l’AGO de la banque pour l’exercice 2022 tenue le 27 avril 2022 : « Amen Bank est résiliente et peut faire face aux évolutions réglementaires (notamment les IFRS, ndlr) et économiques », avait-t-il indiqué.